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Quand une femme monte l'escalier

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Quand une femme monte l'escalier
(ONNA GA KAIDAN WO AGARU TOKI)

 

de Naruse Mikio

Japon

Paroles de femmes

 

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Réalisateur : Naruse Mikio

Scénariste : Kikushima Ryuzo

Photo : Tamai Masao

Son : Fujiyoshi Masao,
Shimonaga Nao

Musique : Mayuzumi Toshiro

Décors : Satoshi Chuko

Interprètes : Takamine Hideko, Mori Masayuki, Dan Reiko, Nakadai Tatsuya, Kato Daisuke, Nakarama Ganjiro, Ozawa Eitaro, Awaji Keiko

Production :
Toho

Distributeur : 
Les Acacias
63 Rue de Ponthieu
75 008 Paris
Tél : 01 56 69 29 30
Mail : [email protected]
www.acaciasfilms.com

Année :
1960

Diffusion : 2018

DCP, N & B, 11 mn, v.o. japonais s.t.f.

 
Keiko Yashiro, jeune veuve, gagne sa vie en tant qu’hôtesse de bar dans le quartier chic de Ginza, à Tokyo. Elle reste fidèle au souvenir de son mari, décédé cinq ans auparavant.
 
« Elle ne se plie guère aux usages de ce milieu vu qu’elle n’aime pas l’alcool, refuse de coucher avec n’importe qui et fait montre d’un caractère fier et exigeant. Elle se distingue de l’hôtesse de bar standard et c’est pourquoi tant d’hommes la considèrent comme un défi et veulent la séduire. Dans un sens, elle incarne une série de valeurs japonaises plus traditionnelles, en contraste avec le libertinage dûment rémunéré qui l’entoure. Elle est toutefois confrontée à un dilemme, car elle approche d’un âge qui va amorcer le déclin de sa beauté et son entourage l’incite donc à ouvrir son propre bar ou à se marier. Les deux voies semblent impliquer le sacrifice de son indépendance. Pour ouvrir son propre bar, on lui dit qu’elle aura besoin d’un patron (un homme d’affaires dont elle sera la maîtresse). Keiko tente de contourner ce compromis détestable en s’efforçant de réunir le capital nécessaire par le biais d’une souscription auprès de ses clients les plus fortunés.
Hideko Takamine, l’une des actrices préférées de Naruse et l’une des stars les plus marquantes, talentueuses et charismatiques du cinéma japonais, est au centre du film. » Philip Lopate
 

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